Une petite fille est désemparée devant la tristesse de sa maman. Chaque année, pour la fête des mères, elle tente de la sauver du naufrage. Devenue adulte, elle brave une dernière fois cette quête impossible et lui offre son ultime cadeau : un spectacle. Dans ce seule en scène, Zelda Bourquin nous fait tendre l'oreille et écouter la femme derrière la mère, celle dont la parole conte un récit bien plus vaste qu'elle-même. Grâce au langage et à l'imaginaire, elle invente une célébration vigoureuse et salutaire. L'espace de la scène devient le lieu où les mots peuvent conjurer le sort et changer un peu, beaucoup, énormément la donne 
