Projet solo de la chanteuse Laurène Pierre-Magnani, Al Ghar (le laurier, en arabe) assemble des chansons suspendues entre la basse et la voix, imprégnées de soul, de poésie et de musiques d'ailleurs.
Ses boucles au looper et sa touche de percussions dessinent un set hybride et nourri d'improvisation, qui la place quelque part entre Sandra Nkaké et Leïla Martial. Écrits dans plusieurs langues, les textes léchés dévoilent un univers têtu, conscient, amoureux, marqué par son métissage. Une voix, une basse, un looper... et la magie opère.
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