L'Institut national de recherches archéologiques préventives et le musée départemental Arles antique ont invité des personnalités d'univers à priori très éloignés à une rencontre inédite.
L'Institut national de recherches archéologiques préventives et le musée départemental Arles antique ont invité des personnalités d'univers à priori très éloignés à une rencontre inédite autour des questionnements sur les représentations des corps féminins dans les arts au travers des siècles : Pernelle Marcon, para-sportive et politiste, Valérie Delattre, archéoanthropologue à l'Inrap, spécialiste de l'archéologie du handicap et Marguerite Bornhauser, photographe plasticienne.
Nourrie de ces échanges, Marguerite Bornhauser a imaginé un travail de représentation du corps féminin, d'un corps en situation de handicap, mêlant photographie, sculpture et installation, présenté dans les collections du musée départemental Arles Antique. À cette occasion, le musée substitue une pièce emblématique de sa collection, le plâtre de la Vénus d'Arles, au profit de la représentation magnifiée de la femme moderne imaginée par l'artiste, réalisée à partir de matériaux présents dans le musée, comme un écho aux œuvres environnantes
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