Découvrez le programme enchanteur d'un très grand duo de pianistes ukrainiens. A deux pianos, ils nous proposent de splendides transcriptions d'opéras les plus célèbres !
Olha Chipak & Oleksiy Kushnir, pianos Wolfgang A. Mozart (175 – 1791) : Ouverture de la Flûte Enchantée Franz Liszt (1811 – 1886) : Réminiscences de Don Juan de Mozart S 656 Maurice Ravel (1875 – 1937) : La Valse Abram Chasins (1903 – 1987) : Carmen Fantaisie sur des thèmes de G. Bizet Abram Chasins (1903 – 1987) : Fledermaus Fantaisie sur des thèmes de J. Strauss Depuis leur 1er prix au Concours international en 1998, à Rome, Olha Chipak et Oleksiv Kushnir brillent sur les plus grandes scènes du monde. Pour ce récital, ils pénètrent l'essence d'opéras célèbres (Don Juan, La Flûte Enchantée et Carmen) avec énergie et sensibilité. Leur talent offre un panorama de couleurs allant de Ravel à Liszt et Mozart en passant par deux fantaisies composées par l'Américain Abram Chasins d'après Strauss et Bizet. Un programme enthousiasmant, rafraîchissant et virtuose ! Datant de 1937, la paraphrase de Chasins sur Carmen de Bizet est un développement inventif de thèmes soigneusement choisis de l'opéra le plus joué au monde. Onze ans plus tard, il s'intéresse à l'opérette La Chauve-Souris de Johann Strauss fils, pour laquelle il compose également une fantaisie prodigieuse, avec un sentiment d'improvisation incroyablement libre. Liszt, lui, ne s'est jamais aventuré dans l'opéra, mais c'est par les transcriptions, paraphrases et réminiscences qu'il se permet l'évocation du grandiose lyrique. Ses Réminiscences de Don Juan pour deux pianos (1877) sont brillantes : elles proposent une lecture personnelle des airs les plus fameux de l'opéra de Mozart. C'est une libre réorganisation dramaturgique. Voilà deux génies réunis dans une même œuvre ! De Mozart, ils interprètent la réduction pour deux pianos de l'Ouverture de La Flûte Enchantée et de Ravel, sa fameuse Valse, arrangée pour deux pianos, d'après son poème chorégraphique. Elle rend hommage aux valses viennoises de Johann Strauss… le père cette fois
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