Monsieur Agop, Marseille. C'est tout ce dont Azad dispose quand il débarque à l'aéroport de Marseille à des kilomètres de son Arménie d'origine.
Il veut retrouver ce Monsieur Agop qui l'a sauvé quand il était enfant. Il doit lui révéler un secret avant qu'il ne soit trop tard.
Une incroyable histoire qui, à travers les quartiers de la cité phocéenne, nous parle de tolérance et d'humanité.
« Paron Agop, c'est le nom que les Arméniens d'Arménie ont donné à mon grand-père.
Après le tremblement de terre de 1988 il a décidé, pour la première fois de sa vie, d'aller en Arménie.
Poser le pied sur la terre de ses parents. Il avait 64 ans. Là, il y a vu la misère, la violence, les ruines, les absurdités géopolitiques qui perpétuent la haine...
Il y a vu tout ça.
Alors, parce qu'il était comme ça, tout le temps comme ça, la colère l'a pris et il a décidé de venir en aide à son pays : l'Arménie.
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