Festival Jour 4
Oscar les vacances : Chanson récréative
Au bout de sa plume libre, Oscar trace un chemin lumineux où se rencontrent chanson française, musiques électroniques et délires pop, tout en questionnant les grands thèmes de sa vie, l'adolescence, ses histoires d'amour qui n'ont généralement jamais eu lieu, le monde moderne, ses apocalypses intérieures, sa masculinité, les fleurs, la mort … avec une sincérité désarmante !
Meltheads : Rock à l'Anvers
Repérés aux côtés de leurs grands frères de Deus lors de la dernière tournée européenne de ces légendes anversoises, les trublions de Meltheads sont précédés d'une flatteuse réputation scénique. Auteurs de brûlots punk rocks endiablés, ils peuvent aussi se rendre coupables d'une finesse mélodique qui les propulse dans la cour des grands, de ceux qui savent faire rimer sauvagerie et harmonie, urgence et éloquence !!!
Photons : Jazz pour clubbers
Au jeu des sept familles du jazz, ces quatre-là seraient très probablement les frangins des Bada-Bada. Constitué du pianiste Gauthier Toux et de trois musiciens issus du Cabaret Contemporain et de Daïda, les quatre autant passionnés d'improvisation jazz que de clubbing techno, Photons nous livre une musique qui s'écoute autant qu'elle se danse et explore une techno instrumentale, organique et résolument jouissive.
Ëda Diaz : French touch colombienne
Grandir à Paris et aller à Medellin tous les étés, ça vous marque forcément une destinée artistique. La chanteuse et contrebassiste Ëda Diaz livre dans Suave Bruta sa vision à elle de la binationalité, ouverte, généreuse, et doublement fidèle… Percussions et rythmiques de son pays transatlantique, langue hispanique si malléable, musiques urbaines et électroniques croisées ici, la pop mondialisée et heureuse, sacré message à l'heure actuelle !
The Doug : Spleen clermontois
S'il a trouvé dans le rap sa catharsis à son cri adolescent, le clermontois a depuis ouvert sa palette à toutes les sensibilités qui forment sa culture musicale. Entre chanson et rock, rap et électro, The Doug nous ' balance à pleins poumons sa rage déglinguée et dégingandée aux accents parfois troublants d'Alain Bashung ' (dixit Libération à nouveau). Il explore les névroses de son époque comme les siennes, avec une simplicité et une sincérité touchantes.
|
