Une conférence présentée par Jean Serroy, professeur d'Université émérite et critique de cinéma. Dans le cadre du cycle "Les peintres au cinéma".
Lire plus Voir moins
Naïf, brut, primitif : l'art de Séraphine de Senlis relève de cette façon de représenter le monde, guidé par la seule liberté de l'imaginaire et la seule force de l'inconscient. Pour traduire ce qui fait le mystère de cette peinture, Martin Provost a l'idée de s'attacher moins à la réalisation des tableaux qu'à tout ce qui les fait naître : des paysages, le vent qui fait bouger les feuilles, la lumière qui joue avec elles. Et son récit trace surtout le portrait d'un cœur simple, animé d'une passion de peindre empreinte d'une sorte de religiosité vaguement mystique.
[Map - refresh the page if the map does not show up]