Après l'armistice du 11 novembre 1918, les communes comtadines se dotent, les unes après les autres, de leur(s) monument(s) aux morts. À haute valeur symbolique et politique, ces monuments sont érigés dans le cadre d'une procédure très précise, mais ils apparaissent surtout comme les témoins de la manière dont la population et les autorités ont tenté de donner du sens à la mort massive des jeunes hommes qui ne sont pas revenus de l'enfer des tranchées. En définitive, ces monuments ne nous parlent-ils pas davantage des survivants de la guerre que des ' morts pour la patrie ' ?
Conférence proposée par l'association Art et Culture de Crillon-le-Brave
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