Stéphane Scharlé en solo, exploite un dispositif unique de batterie augmentée pour créer une nouvelle bande son sur le premier film de René Clair "Paris qui dort".
Un univers fantastique et poétique remis au goût du jour avec des paysages musicaux faisant écho à la musique répétitive, à l'électro minimale et à l'improvisation jazz.
Le gardien de la tour Eiffel découvre un beau matin que plus rien ne bouge dans Paris. Seuls lui et un groupe d'amis semblent avoir survécus. Désormais, la ville leur appartient !
Stéphane Scharlé : batterie augmentée Film : Paris qui dort - Le Rayon diabolique (1925)
Organisé le cadre du festival Artbox.
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