Josette Baïz fait de la création un challenge permanent. Elle ne cesse de se renouveler au contact d'écritures chorégraphiques diamétralement opposées.
Elle embarque ses interprètes dans un flux et reflux de danses vivantes, avec quatre pièces différentes. The Roots (extraits), l'une des pièces emblématiques de Kader Attou, Young Men du chorégraphe espagnol Iván Pérez, Petite dernière, une danse théâtralisée et absurde signée Nicolas Chaigneau et Claire Laureau et enfin, -SIAS qui interroge la question de l'identité et du genre des Filles de Mnemosyne, collectif porté par Maxime Bordessoules et Rémy Rodriguez, deux interprètes de sa compagnie.
Quatre visions de la danse d'aujourd'hui, quatre possibilités d'envisager le mouvement, la présence, l'espace, le rythme et l'émotion, quatre façons de donner du sens à une œuvre chorégraphique.
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