C'est l'histoire d'une femme au bord de la crise de la quarantaine, biberonnée aux bluettes et contes de fées. Une femme pas tout à fait libérée, qui n'est même pas sûre d'exister.
Errante et sans dessein, la voilà perdue quelque part entre Simone de Beauvoir et John Travolta, entre Patrick Swayze et Agnès Varda. Entre Dirty Dancing et L'une chante l'autre pas. À la manière d'une Annie Ernaux qui aurait mangé Florence Foresti, Chloé rejoue ses amours réelles et imaginaires, avec beaucoup d'autodérision, le sens du tragique, une chanson en yaourt, quelques personnages, et pas mal de danse lascive. Après avoir confondé la compagnie des Filles de Simone, Chloé Oliveres, époustouflante de présence et de bagout, se lance dans son premier seule-en scène. Elle s'empare du plateau et y rejoue ses amours réelles et imaginaires, avec beaucoup d'autodérision, le sens du tragique, une chanson en yaourt, quelques personnages, et pas mal de danse lascive. Du bébé à la quadragénaire, cette actrice décapante parcourt les étapes d'une existence promise à un amour de conte de fées avant de réaliser que, avec ou sans homme à son bras, la femme seule est l'avenir de la femme. DISTRIBUTION Écriture et interprétation Chloé Oliveres Mise en scène Papy Scénographie Émilie Roy Lumières Arnaud Le Dû Costume Sarah Dupont Chorégraphe Laëtitia Pré Voix off Richard Darbois PRESSE _' un humour ravageur (…) une actrice décapante '_ TÉLÉRAMA (TTT – Très Bien) _' Un régal de spectacle, drôlissime, subtil, revigorant ' / ' Avec son tempérament à la Florence Foresti et son physique à la Valérie Lemercier, cette comédienne livre un premier solo parfaitement construit, très bien écrit et d'une autodérision réjouissante '_ LE MONDE _' Un spectacle ciselé comme un diamant '_ LE FIGARO _' Coup de coeur du festival. Un spectacle résolument solaire et entraînant '_ LE PARISIEN
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