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EO, film de Jerzy Skolimowski au Carreau du Temple


EO, film de Jerzy Skolimowski au Carreau du Temple


événement

 

cinéma

 

nature

 

soirée

 
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eventLe 3 juin 2025 de 19h30 à 21h00

open_in_new Consultez les informations d'origine (sur le site web de l'annonceur)

QUE FAIRE À PARISopen_in_newhttps://www.paris.fr/evenements/eo-jerzy-skolimowski-65926 (visited on 17 Décembre 2024)


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2 rue Perrée
75003 PARIS France


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Le film

Synopsis : Le monde est un lieu mystérieux, surtout vu à travers les yeux d'un animal. Sur son chemin, EO, un âne gris aux yeux mélancoliques, rencontre des gens bien et d'autres mauvais, et fait l'expérience de la joie et de la peine, mais jamais, à aucun instant, il ne perd son innocence.

Rencontre

La projection sera suivie d'une rencontre avec des professionnel - le - s ayant participé au film et d'un temps d'échange avec le public.

En savoir plus sur le film :

Il y a plusieurs dizaines d'années, Jerzy Skolimowski avait dit lors d'une interview dans les Cahiers du Cinéma que le seul film qui l'avait ému aux larmes était Au hasard Balthazar de Robert Bresson (1966).

Jerzy Skolimowski a avant tout cherché à faire un film émotionnel : ' J'ai dirigé de très grands acteurs comme Robert Duvall ou Jeremy Irons - deux parmi les plus généreux avec lesquels j'ai travaillé, des êtres merveilleux. Les réalisateurs recourent à des arguments intellectuels pour obtenir des acteurs l'effet désiré, utilisent le langage pour provoquer leurs émotions. '

Lorsque l'éleveur a montré à Jerzy Skolimowski les photos des ânes disponibles, le cinéaste a tout de suite aimé ceux de la race sarde.

EO a concouru en compétition au Festival de Cannes 2022, où il a remporté le Prix du jury.

EO est le quatrième scénario que Jerzy Skolimowski a écrit avec Ewa Piaskowska après Essential Killing, 11 minutes et Quatre nuits avec Anna.

En partenariat avec CinéCaro

Le film avance, bancal mais stupéfiant, tirant au passage le portrait au vitriol d'une société brutale. Ses ersatz d'humanité se reflètent dans l'oeil du petit âne, venu contredire à lui seul l'anthropocentrisme du cinéma.

Le Monde,




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