Coup de projecteur proposé par Catherine de Buzon à l'occasion de la conférence "Les mille et un jours ou les métamorphoses du blanc en peinture".
' Le peintre ne doit pas peindre seulement ce qu'il voit en face de lui, mais aussi ce qu'il voit en lui ' Caspar David Friedrich.
Le blanc est volubile... le Sacré et le Profane résonnent puissamment de sa présence. La Vie et la Mort, la lune et la nuit, les rêves, l'innocence de l'enfant, l'art pour l'art, les perles satin et draps froissés de la sensualité, le Silence, le Plein et le Vide. Le blanc est un chef d'orchestre brillant, éblouissant, fulgurant parfois.
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