« La musique est la seule chose que je fais sans me forcer », dit rapidement la jeune fille en racontant son histoire. Originaire de Bretagne et élevée dans une famille aimante, elle voit débarquer la musique dans sa vie comme une évidence. À 6 ans à peine, un musicien offre un synthé à l'enfant dans la maison familiale au bord de la mer et lui apprend à jouer quelques notes. C'est décidé, c'est cette vie que la petite Enora souhaite mener.arøne fait partie de ce qu'on appelle « la next gen », cette génération d'artistes ayant grandi en écoutant (majoritairement) du rap, de la pop ou encore de l'électro et qui applique cet éclectisme musical dans les œuvres produites, sans aucune distinction de genres.Peu important le contenant, l'important pour arøne c'est que sa musique fasse frissonner les cordes sensibles universelles. Et pour atteindre les cœurs des auditeurs, la jeune artiste s'ouvre sans concession : « Je pars toujours d'une base sincère et réelle, je ne fais pas de musique si je n'ai rien à partager. » Touchée par les relations humaines – plutôt celles qui fanent que celles qui durent – elle exprime sa mélancolie et ses rancœurs à travers l'écriture, pour embellir et mieux dépasser ses peines. « J'écris des choses qui me rendent triste mais je les rends joyeuses à mon tour », affirme la chanteuse.Elle aime aujourd'hui mélanger des textes souvent noirs et empreint de ce spleen générationnel et des productions, à l'opposé, très dansantes et entêtantes. Aujourd'hui sort le nouvel extrait « Garder le Sourire » d'arøne qui annonce également son nouveau projet d'été à venir dans les prochaines semaines.
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