L'ensemble Capella Forensis esquisse un paysage musical et littéraire en forme d'ode pour le vivant
C'est l'histoire simple d'une obstination, d'une rencontre avec la vie qui jaillit en silence là où on ne l'attendait plus. L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle à part dans l'œuvre de Giono. Elle demeure, 70 ans après sa parution, un manifeste écologique inspirant. L'ensemble Capella Forensis s'emploie à décupler l'humanité de ce texte et à magnifier le paysage provençal de Giono en l'enrichissant de pièces de Beethoven, Schubert et Ravel. Les quatre interprètes usent de la voix et de l'instrument avec un même souci de perfection qui touche au cœur. Tantôt le texte est seul, tantôt la musique domine, tantôt ils se superposent. Une communion entre l'homme et la nature avec la musique et les mots comme unique scénographie.
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