Une marionnette faite femme, en robe blanche crinoline et visage poudré, avance seule, spectrale, vers un destin inconnu. L'autel ? Le mariage forcé ? En 2008, ce tout premier solo de Rebecca Journo marquait les esprits par la présence fantomatique et hypnotique de cette mariée déchue à la gestuelle mécanisée, comme manipulée par des fils invisibles.
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