Imaginez-vous à la croisée des chemins entre cafard et mélancolie, à chercher désespérément la sortie d'Ikéa.
Et puis, les portes se bloquent, il y a des intempéries, ce n'est rien de grave mais ça va prendre un petit moment pour que l'orage passe, alors il faut prendre son mal en patience. N'est-ce pas le moment propice pour réfléchir à un nouveau rapport à soi et aux autres ? Une traversée poétique dans les tentatives d'échappatoire en proie à cette forme si particulière de langueur et de tristesse. S'abandonner à la mélancolie, serait-ce finalement une porte vers l'évasion ?
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