D'après l'œuvre de Thomas Bernhard – Cie Machine Théâtre –
Dans un univers onirique, teinté de couleurs kafkaïennes, la neige a recouvert par endroit les vestiges d'une salle d'attente entre deux mondes, celui du réel et celui artificiel du théâtre, du rêve ou du passé…
J'aimerais que dans cet espace immuable, on traverse l'histoire de cet homme : Thomas Bernhard. Un homme qui se dresse contre ((…))
Thomas Bernhard comme antidote à l'illusion et à l'hypocrisie. Miroir pour réfléchir le monde, sa vanité, sa comédie.
C'est dans la représentation de la représentation que se traque le mensonge. Penser, écrire, marcher…
Tension permanente vers l'autonomie.
Sortie de l'abri, détruire son abri et tout ce qui rattache à l'abri… Renoncement à toute forme d'installation. Brice Carayol
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