' La Soeur de Jésus-Christ est un western moderne ; un texte coup de poing et une équipe artistique de haut vol. ' - Diane Delangre, RTBF
Dans ce village du sud de l'Italie, tout le monde est affublé d'un surnom. Simeone, le frère de la jeune Maria, on l'appelle Jésus. Il ressemble au Christ dont il joue le rôle lors de la Passion du vendredi saint.
Maria, c'est cette jeune fille qui s'empare du pistolet Smith & Wesson 9 mm dans le buffet de la cuisine. Elle quitte la maison, l'arme à la main. Elle marche en direction du village. Elle se rend chez Angelo le Couillon, le jeune homme qui lui a fait violence la veille.
Le village prend sa suite, finissant par former un cortège bigarré. Chacun·e y va de son anecdote sur Maria, livrant tour à tour chaque pan de sa vie. Il y a ceux·elles qui l'encouragent, ceux·elles qui veulent la dissuader, mais rien ni personne ne pourra l'arrêter, lui faire lâcher son arme, pas même sa famille, pas même les gendarmes.
' Rarement un spectacle nous a autant fait vibrer et transporté tant l'émotion sur le plateau était intense, follement sincère, juste, sans fausse note. Du texte - et de son interprétation, exceptionnelle - aux lumières, en passant par la scénographie, les costumes, l'accompagnement musical, sonore et vidéo,
Georges Lini a su créer une alchimie exquise, parfaite. Une claque magistrale. '
- Stéphanie Bocart, La Libre
Avec l'aide des Tournées Art et Vie
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