Avec CHRONIQUES, Biennale des Imaginaires Numériques Deux compagnies suisses interrogent le point de vue du spectateur, entre voyeurisme et contemplation...
Resterez-vous à contempler les danseuses et danseurs ou viendrez-vous les observer entre les fentes de ce dispositif scénique stupéfiant ? A vous de voir ! Mire interroge notre rapport au corps, jouant avec les différentes facettes de notre regard.
Cette pièce phare de Jasmine Morand est une véritable expérience pour le spectateur ! Au centre ; une structure circulaire qui évoque un zootrope, cet objet précurseur du cinéma qui, en tournant, donne l'illusion du mouvement. A l'intérieur ; douze danseuses et danseurs aux ondulations kaléidoscopiques fascinantes. De la contemplation au voyeurisme, de la beauté à la trivialité, MIRE joue de notre curiosité érotique et ajuste la focale sur notre perception des corps. Qu'ils soient abstraits et magnifiés ou bruts et sans artifice, ils s'offrent à nous, harmonieusement, dans cette installation chorégraphique aussi splendide que troublante.
Nudité intégrale des danseurs pendant toute la durée du spectacle. Jauge limitée.
EN CORÉALISATION AVEC Avec le soutien de
|