4 211 km, c'est la distance entre Paris et Téhéran, celle parcourue par Mina et Fereydoun venus d'Iran pour se réfugier en France après une révolution qu'on leur a volée. Yalda, leur fille née à Paris, nous raconte leur vie exilée, leur combat pour la liberté, l'amour d'un pays et l'espoir d'un retour. Elle nous balade entre ses deux mondes : sa famille, des rêveurs, des rescapés, des héros qui ne se plaignent jamais, et le monde extérieur dans lequel elle cherche désespérément sa place.
Elle se livre sur le poids du passé, son sentiment du devoir de mémoire, sa colère, ses angoisses, cette envie abyssale d'aller en Iran, sa quête d'identité. Comment vivre avec cet héritage dans une société à l'opposé de sa culture et de ses idéaux ?
4 211 km pose la question de l'identité, du déracinement et de l'héritage au cœur d'une histoire familiale bouleversante. C'est l'histoire d'un héritage que l'on aime et que l'on déteste, c'est l'histoire d'hommes et de femmes qui cherche à se frayer un nouveau chemin. Alors qu'en Iran le peuple se révolte aujourd'hui encore, cette pièce résonne de manière particulière. Elle nous éclaire sur la barbarie d'un régime et témoigne du combat que mènent les Iranien.nes depuis des décennies - ceux qui ne sont plus là, ceux qui sont restés et ceux qui sont partis.
↪ Molière du Théâtre Privé 2024 et Molière de la Révélation Féminine 2024
↪ Prix du Jury professionnel, Prix du Public et Prix du Jury Jeune du concours des compagnies du Festival d'Anjou 2023
↪ Prix du public et Mention spéciale du prix Théâtre 13 - 2022
↪ Lauréat du Fond SACD Théâtre 2022
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La presse en parle
' Un grand récit qui emporte et bouleverse ' Télérama – TTT
' À partir de son histoire familiale, Aïla Navidi tisse un grand récit qui emporte et bouleverse, grâce à sa fluidité remarquable et l'engagement des comédiens. Jusque dans les effets de mise en scène, tout est juste, savamment dosé et mû par une émotion retenue. De cette pudeur émanent la beauté mais aussi la force d'un combat pour la liberté, plus essentiel et d'actualité que jamais. ' Télérama – TTT
' Un lumineux voyage pour la liberté, poétique, souvent drôle, chargé d'émotion et de courage politique. ' L'Humanité
' Avec une maîtrise qui force l'admiration, Aïla Navidi nous plonge dans le vécu de la famille Farhadi entre Téhéran et Paris. Un bijou théâtral, profondément émouvant. (…) Il est beau que le théâtre se fasse ainsi mémoire, et célébration de la liberté. ' La Terrasse
' Ce spectacle d'une grande qualité narrative, est servi par une mise scène et une interprétation magnifique. À voir de toute urgence ! (…) Et au vu de ce qui se passe en ce moment en Iran, il est plus que nécessaire, c'est même un devoir d'utilité public et humain, d'aller applaudir ce magnifique et bouleversant spectacle. ' L'Oeil d'Olivier
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www.instagram.com/cie_nouveaujour
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Texte, mise en scène : Aïla Navidi
Avec : June Assal/Lola Blanchard, Sylvain Begert/Thomas Drelon, Benjamin Brenière/Damien Sobieraff, Florian Chauvet, Alexandra Moussaï/Aïla Navidi, Olivia Pavlou-Graham
Scénographie : Caroline Frachet
Création lumières : Gaspard Gauthier
Création sonore, vidéo : Erwann Kerroc'h
Régie générale : Moïra Dalant
Chorégraphie : Alfonso Baron
Production : Compagnie Nouveau Jour - Clémentine Armand
Diffusion : Fabriqué à Belleville - Prune Bonan
Production : Compagnie Nouveau Jour // Lauréate du Fonds SACD 2022 - Prix du public et Mention spéciale du prix Théâtre 13, 2022 - Prix du Jury professionnel, Prix du Public, Prix du Jury Jeune du concours des compagnies du Festival d'Anjou 2023 - Molière du Théâtre Privé 2024 et Molière de la Révélation Féminine 2024 // Soutiens : SACD Paris – Ligue de l'Enseignement – MC93 Bobigny – Festival d'Anjou // Remerciements : Théâtre 13 – Théâtre de Belleville – Centre Culturel Pouya.
Photo vignette : Dimitri Klockenbring - Photo ci-dessus : Bealivet photo
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