Guillaume Poncelet évolue dans un univers sonore hybride en expansion continue.
Le piano droit est l'instrument de ses premières compositions. Enfant, il passait des heures à expérimenter, chercher et assembler des textures sonores. Aujourd'hui, il les enregistre, en utilisant la sourdine, cette fine bande de feutrine qui fait ' chuchoter ' le piano. Collaborant avec de nombreux artistes, il explore en solo – au piano – la sphère d'une musique néo-classique minimaliste aux nuances profondes et subtiles.
Instrumentiste haut de gamme, également compositeur et arrangeur, Guillaume Poncelet accomplit depuis le début des années 2000 un exigeant parcours musical, déjà riche en réalisations marquantes. Il ne s'enferme pas dans un style musical spécifique, mais les croise, comme en témoignent ses nombreuses collaborations – en studio et sur scène. En parallèle, il développe une œuvre solo, amorcée avec 88, premier album enregistré au piano droit. A travers une musique volontairement minimaliste, résolument moderne, il exprime une sensibilité à fleur de touche, prenant ses racines dans l'héritage des grands compositeurs européens comme Maurice Ravel, Gustav Mahler ou Philip Glass. En recherche constante de nouvelles sonorités, il poursuit cette aventure solo avec son nouvel album Durango sorti en septembre 2023.
Trompettiste de formation, ayant appris le piano en autodidacte, Guillaume Poncelet – né en 1978 – compose et réalise des albums pour Ben Mazué, Gaël Faye, Michel Jonasz ou encore Thomas Azier . Ancien membre de l'Orchestre National de Jazz, il part régulièrement en tournée avec d'autres artistes. En 2018, il publie son premier album solo, 88, salué par la critique, suivi de l'EP Haven en 2021. Compositeur pour le cinéma, il est co-auteur de la bande originale de Razzia, film de Nabil Ayouch et du premier long-métrage de François Uzan, On sourit pour la photo, sorti en salles en mai 2022.
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